Il y a 40 ans, je mettais pour la première fois les pieds autour d'un circuit, et cela me permettait de joindre deux de mes passions, la moto et la photo.
Quand il y a quelques mois, Bruno m'a proposé de « travailler » avec lui, j'ai accepté avec joie, le connaissant depuis quelques temps déjà. Lors d'une conversation nous nous sommes mis à parler du GP de France et je lui ai dit que pour moi, c'était le summum, un rêve de motard et de photographe, mais juste un rêve inaccessible.
Et Bruno m'a dit ce jour-là, « on y sera ». J'avoue que sur le coup, je n'y ai pas cru.
Et voilà, je viens de passer quatre jours de rêve. Ces journées ne sont pas racontables ici, il en faudrait des pages.
Tout commence le jeudi quand je retire mon accréditation à l'aérodrome du Mans ; qui arrive en même temps que moi ? Un certain Valentino, dont l'avion vient de se poser. Une fois installé dans l'enceinte du circuit, on croise ceux que l'on voit à la télé et on retrouve des connaissances. Je suis étonné de voir déjà le nombre important de spectateurs présents.
De nombreux événements sont déjà organisés. Le soir, invitation chez MONSTER pour la présentation du premier des petits films consacrés à Valentino ROSSI, il y a là les Monster Girls, Bradley Smith, Pol Espargaro et Randy Mamola. On mange, on boit, Bradley Smith fait des demos de vélo et puis quelqu'un arrive en scooter, hé oui, c'est Vale. On rentre dans la structure Monster, interview de Vale puis début du film, nous sommes tous debout et Vale est au milieu de nous. Au bout d'un moment, il se déplace et s'installe à coté de moi pour la suite de la projection. Je vous laisse imaginer mes pensées.
Les trois jours suivants s'enchainent à un rythme effréné entre les essais, les diverses animations et enfin les courses. En fait, plus vraiment le temps de penser, il faut être partout à la fois pour faire des photos. En plus il fait un temps magnifique, comme je le dis souvent : "Des potes, des motos et du soleil que demander de plus ?".
Un coup de chapeau à Claude Michy et à son équipe qui ont su organiser un superbe GP. Et un grand merci à tous ceux grâce à qui j'ai pu vivre ce magnifique week-end.
P.S. : Merci à Bouba pour son accueil.
P.S.(Bis) : J'aimerai aussi redire merci à Bruno dit Le Taz ou plus vous dire que c'est lui qui retravaille photo par photo dans chaque article qui gère la mise en page et le site et je peux vous dire que c'est un travail de patience et de longue haleine.
J’ai vécu un GP de France extraordinaire car ….
Revenons un peu dans le passé en 2010 bien que j’avais déjà écrit par ici par là des choses, je n’avais pas eu l’idée ou réfléchis à devenir journaliste, quand en plein mois d’aout François Cominardi, me téléphone du Québec et me propose le job de correspondant international pour des magazines Québécois et Canadien, une nano seconde plus tard je réponds oui et me voici parti sur Montréal rapidement et régulièrement je me trouve entre ici et la bas.
Je commence des essais moto, et mon statut me permet aussi à quelques reprises d’être publié dans des magazines Français comme Moto Journal et autres.
En septembre 2015 suite à une tempête dans un dé à coudre, ou d’une vague campagne qui fera PFFFF de la part de personnages totalement insignifiants, je décide de créer au 1er janvier 2016 Sport Moteur International et prendre François Cominardi en qualité de rédacteur en Chef et Bruno Laurent comme reporter/photographe et ça marche car notre existence n’est pas que sur Facebook mais dans la vrai vie, ce support n’est là que pour simplement communiquer.
En ce qui nous concerne, nous allons à la rencontre des autres, et notre travail à payer même pas 4 mois d’existence et nous accédons au Grand prix de France avec nos cartes de presse canadienne car au Québec, ce n’est pas un ordre légiféré, avec une carte ouvrant droit à des avantages sociaux et fiscaux comme en France. (Source http://www.fpjq.org/deontologie/guide-de-deontologie/ " Le rôle essentiel des journalistes est de rapporter fidèlement, d’analyser et de commenter le cas échéant les faits qui permettent à leurs concitoyens de mieux connaître et de mieux comprendre le monde dans lequel ils vivent. Une telle information complète, exacte et pluraliste est une des garanties les plus importantes de la liberté et de la démocratie.").
Tout est dit NON ?